I / Rentrée scolaire 2020-2021
Lycée Léon BLUM (CRETEIL) Étienne ANDRÉ, adjoint gestionnaire : un nouveau proviseur a été affecté au lycée.
On ne note pas d’augmentation de l’absentéisme aussi bien chez les élèves que parmi les personnels malgré le contexte sanitaire. Quelques personnels et élèves sont sporadiquement déclarés infectés par la Covid, sans dissémination de la maladie interne au lycée.
Le lycée s’est équipé d’un distributeur électrique de gel hydro alcoolique disposé à l’entrée, qui est un bon équipement limitant les manipulations et permettant de bien réguler la consommation de solution qui est importante.
Collège LAPLACE (CRETEIL) Chahrazad BOUHADIBA, adjointe gestionnaire : après une année d’absence pour des raisons de santé, Madame BOUHADIBA reprend son poste.
La restauration scolaire a été réorganisée en deux services afin d’espacer les élèves dans un petit réfectoire et permettre une désinfection plus aisée. Depuis l’année dernière, le collège a intégré le dispositif « Cités éducatives ».
Monsieur KAMARA, Fondé de pouvoir au lycée ST EXUPERY (CRETEIL), présente ce dispositif né à partir d’initiatives menées sur le terrain par les élus locaux, les services de l’État et les associations. Il vise à intensifier la prise en charge éducative des élèves, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire. Concrètement à Créteil, les 5 écoles et 2 collèges du Mont-Mesly et de la Habette sont réunis, depuis septembre 2019, au sein d’une cité éducative afin d’offrir des moyens plus importants à ces établissements situés en quartiers prioritaires, l’objectif étant d’enrayer le décrochage scolaire tout en s’appuyant sur les partenaires socioculturels. Le collège participe aussi au dispositif sur l’école ouverte et au projet « Diomed » (Section sportive).
Collège PASTEUR (CRETEIL) Fatima SALAH, adjointe gestionnaire : les nominations d’une nouvelle principale et d’une nouvelle secrétaire d’intendance apportent un changement dans l’organisation du travail au collège.
A la suite de la suppression d’un poste d’agent territorial, les agents en poste éprouvent de la fatigue dans l’accomplissement de leurs missions. Après s’être rapproché du conseil départemental du Val-de-Marne, l’établissement a obtenu un agent intérimaire. Madame SALAH évoque parallèlement la question de la fourniture des vêtements de travail pour ces personnels qui arrivent sans en posséder. L’établissement se trouve dans la difficulté de les fournir notamment lorsque ces personnels se déplacent souvent d’un établissement à l’autre.
En restauration, la désinfection est organisée sous forme de roulement.
Collège Victor HUGO (CRETEIL) Amel RAVARD, adjointe gestionnaire : Mme Ravard indique être sur le poste depuis avril 2019 suite à un détachement en provenance du ministère de l’Intérieur.
Elle précise que la pause méridienne a été prolongée d’une demi heure afin de limiter le nombre d’élèves dans le réfectoire (70 places sont disponibles au lieu de 140). La crise sanitaire a provoqué des absences parmi les personnels. Madame RAVARD a donc dû participer à de nombreuses missions ne relevant pas nécessairement de l’intendance.
Elle indique que le service intendance ne dispose d’une secrétaire d’intendance qu’à mi-temps ce qui est parfois problématique pour un établissement de 500 élèves avec 350 demi-pensionnaires.
Elle apprécie le soutien de l’équipe de l’agence comptable ainsi que ces moments d’échanges avec les collègues durant ces réunions de réseau du fait notamment de la solitude que peut parfois revêtir cette fonction d’adjoint gestionnaire.
Collège PLAISANCE (CRETEIL) Fabienne ALLOUCHE, adjointe gestionnaire : Fabienne ALLOUCHE indique s’être retrouvée seule pendant plusieurs mois dans son collège durant le confinement. Elle n’a pas obtenu le soutien qu’elle espérait du personnel qui lui est adjoint.
Les personnels enseignants se sont mis en grève dès la rentrée et l’ensemble des AED était en arrêt de travail. L’équipe ATTEE est aujourd’hui fragilisée par l’absence de l’agent de maintenance et du chef de cuisine. La collectivité de rattachement essaie d’apporter une réponse en envoyant des intérimaires qui ne connaissent pas toujours le métier.
Elle indique être amenée à remplir les distributeurs de gel hydro-alcoolique tous les matins. Elle a dû aussi assurer la gestion et la distribution des ordinateurs mis à disposition par le conseil départemental du Val-de-Marne.
Malgré les nombreuses difficultés rencontrées quotidiennement pour accomplir ses missions, Madame ALLOUCHE continue ses activités de formatrice au rectorat, avec notamment la formation des secrétaires nouvellement affectées sur l’académie.
Collège Georges BRASSENS (SANTENY) Marie-Louise REGULUS, adjointe gestionnaire : elle indique que l’établissement accueille une nouvelle principale adjointe en cette rentrée ainsi qu’un nouveau CPE pour un effectif de 510 élèves.
Les achats de gel hydro-alcoolique et autres fournitures liées à l’application du protocole sanitaire pèsent sur les charges budgétaires de son établissement. Les élèves passent au réfectoire par classe dans le but de faciliter le repérage des cas contacts. L’ensemble des personnels sont sollicités pour une gestion optimale durant le service de restauration.
Elle indique être accompagnée d’une équipe d’agents ATTE très assidue et sérieuse. Le système de paiements électroniques PayFip fonctionne correctement mais les parents d’élèves continuent à privilégier les autres modes de règlement. (Note : ce système permet de dématérialiser les paiements notamment de la demi-pension grâce à des titres payables par l’Internet ou par prélèvements SEPA).
Collège Paul LANGEVIN (ALFORTVILLE) Gita DUFOUR, adjointe gestionnaire : Mme DUFOUR fait part des difficultés rencontrées en matière de ressources humaines. Elle souligne notamment son incompréhension d’un mi-temps au service intendance au regard de l’effectif de son établissement et de son classement en REP. Elle précise que les contractuels qui sont parfois affectés dans sa structure présentes très souvent de grandes lacunes. Malgré la bonne volonté dont elle fait preuve pour les faire monter en compétences, l’entreprise est parfois vaine.
La réouverture de la demi-pension au mois de mai pour une trentaine d’élèves a permis de tester l’application du protocole sanitaire au réfectoire, la réouverture au mois de septembre s’en trouvant d’autant plus facilitée. Les tables du réfectoire sont numérotées permettant un suivi rigoureux.
Collège LA GUINETTE (VILLECRESNES) Amélie MANENT, adjointe gestionnaire :
le collège fait l’objet d’une réhabilitation par tranches sur trois ans. L’augmentation des effectifs a conduit à l’ouverture de cinq classes supplémentaires.
L’équipe est stable avec seulement une nouvelle principale adjointe en septembre.
Dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire, les trois collèges du plateau briard (collège LA GUINETTE, collège Georges BRASSENS, collège Simone VEIL) se sont concertés afin d’harmoniser les pratiques dans cette zone.
Les élèves se désinfectent les mains à l’entrée des classes, mais pas à l’entrée de l’établissement. En raison de sa faible dimension, le réfectoire est totalement utilisé avec un effectif de 500 demi-pensionnaires pour 250 places et un passage des élèves au service de restauration par classes.
La préparation anticipée des plateaux a été testée mais vite abandonnée devant le peu d’engouement des agents et la charge de travail engendrée. Le salad’bar a également été abandonné avec un menu présentant un choix d’entrée mais toujours deux plats au choix.
Pour la distribution de l’eau, le nombre de brocs a été multiplié avec un broc pour quatre élèves afin de limiter les trop nombreuses manipulations. La campagne des bourses nationales a été compliquée à gérer en raison d’une application en ligne qui s’est trouvée très régulièrement inutilisable même si l’établissement n’est pas particulièrement concerné (faible taux d’élèves boursiers).
Collège Roland GARROS (VILLENEUVE-ST-GEORGES) Nathalie KORUTOS, adjointe gestionnaire : elle indique que l’équipe est stable avec notamment une secrétaire d’intendance à mi-temps et le mi-temps restant complété par un AED.
Le collège a installé du gel hydro-alcoolique à l’entrée de l’établissement et dans chaque salle de classe. Ce dispositif très onéreux pèse sur les charges budgétaires.
La campagne de bourses restant difficile à mettre en œuvre, l’établissement a largement distribué des dossiers version papier.
Mme KORUTOS, a aussi rencontré des difficultés RH, notamment dans l’organisation des horaires et du service des personnels administratifs pendant les périodes hors présence des élèves.
Collège Jules FERRY (JOINVILLE LE PONT) Jean-Philippe OUISLY, adjoint gestionnaire : M. OUISLY a été le seul personnel administratif présent dans l’établissement jusqu’en septembre (absence de secrétariat).
En raison d’une adaptation impossible des locaux, le passage au réfectoire s’effectue par classes. L’absentéisme des ATTEE est quant à lui pas totalement compensé avec notamment une agent d’accueil à la retraite remplacée par un contractuel dont les absences sont très régulières.
Lycée Eugène DELACROIX (MAISONS ALFORT) Sophie LASSALMONIE, adjointe gestionnaire : la réforme du baccalauréat a compliqué la rentrée scolaire, l’amplitude des horaires d’ouverture du lycée a du être augmentée le soir et le samedi pour assurer l’accueil des élèves. A la suite d’une intervention des parents d’élèves, la région Île-de-France expérimente l’envoi de personnels intérimaires en cas d’absence d’ATTEE.
Dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire, les enseignants disposent d’un kit de désinfection composé d’un pulvérisateur rempli de produit désinfectant, d’une lavette et d’un flacon de gel hydro-alcoolique. Quatre bornes de distribution de gel, à pédale, sont également installées à l’entrée de l’établissement, du self et du gymnase. Le dispositif de biométrie à l’entrée du réfectoire est maintenu, les élèves se désinfectant les mains avant et après le passage à la biométrie. Chaque élève prend un carafon rempli d’eau en même temps que ses couverts enroulés dans une serviette et une place sur deux est neutralisée pour un effectif de 650 convives par jour et un réfectoire présentant 400 places ce qui induit trois services de restauration.
Madame LASSALMONIE soulève la question de l’application des remises d’ordre pour les élèves au forfait déclarés cas contact à la COVID19. Cette question préoccupant de nombreux Adjoints gestionnaires, les collectivités territoriales compétentes en matière d’organisation de la restauration scolaire seront amenées à se prononcer.
Pendant le confinement, les établissements rattachés ont transmis par voie électronique les opérations comptables, les originaux ayant été déposés ultérieurement.
Madame LASSALMONIE met en place progressivement les nouvelles modalités de la Régie avec l’instauration des comptes DFT dotant les établissements rattachés d’une carte bleue. Elle précise que les services de la région préparent l’installation de la WIFI dans l’établissement.
Lycée Eugène DELACROIX (MAISONS ALFORT) Baptiste CARRE, fondé de pouvoir : la distribution des ordinateurs de la région Île-de-France aux élèves de seconde s’est bien déroulée. L’installation des bornes WIFI est prévue pour le mois de janvier.
Lycée Antoine de SAINT EXUPERY (CRETEIL) Othman MOHAMED, adjoint gestionnaire et Moussa KAMARA, fondé de pouvoir : dans le cadre de la crise sanitaire, de gros efforts ont été déployés pour rassurer l’ensemble de la communauté scolaire du lycée. La mise en place d’un protocole sanitaire rigoureux, avec l’aide de Monsieur MIDELTON, responsable entretien et maintenance, très investi dans le dispositif, a permis de réaliser une rentrée sereine.
Lycée GUTENBERG (CRETEIL) Nicole GIRONE, adjointe gestionnaire : les emplois du temps ont été modifiés pour organiser un troisième service à la restauration. Peu de cas de Covid.
Les chariots d’entretien à pré-imprégnation étaient prévus pour cette semaine mais aucune livraison n’a été réceptionnée pour le moment. Monsieur CHEINEY, gestionnaire du lycée Edouard BRANLY (CRETEIL), confirme que les évolutions technologiques apportées sur les matériels de nettoyage constituent un véritable progrès notamment pour lutter contre les troubles musculo-squelettiques subis par les ATTEE.
Le lycée rencontre des difficultés particulières dans la gestion des nombreuses licences des manuels scolaires numériques. En l’absence d’interlocuteur et de mode d’emploi, l’attribution de ces licences, élève par élève et manuels par manuels, constitue un travail très fastidieux.
Collège Edouard HERRIOT (MAISONS ALFORT) Stéphane FRANCHETTI, adjoint gestionnaire : il précise que son établissement présente un effectif de 700 élèves avec 560 demi-pensionnaires et un réfectoire de 150 places.
Ces contraintes en terme de place ont induit que seuls les élèves de 6ème ont d’abord été accueillis à la demi-pension ; soit environ 200 élèves sur 560 demi pensionnaires.
Un important travail de communication a été effectué par l’équipe du collège en direction des parents d’élèves afin d’expliquer ce choix contraint. Le service de restauration a progressivement pu s’ouvrir aux autres niveaux sur demande écrite. Le crédit nourriture ayant subi une diminution drastique, Monsieur FRANCHETTI a été contraint d’effectuer deux DBM22 pour ajuster les crédits du SRH.
Du gel hydro alcoolique a été disposé dans toutes les salles de classe avec une forte implication des équipes enseignantes dans la désinfection de leurs postes de travail.
Collège Edmond NOCARD (SAINT MAURICE) Martine FILIPPOZZI, adjointe gestionnaire : elle indique que son collège présente un effectif de 400 élèves pour 300 demi-pensionnaires avec une rentrée qui s’est globalement bien déroulée du fait d’une équipe très soudée. Elle précise qu’un agent ATTEE manque depuis plusieurs années et que le secrétariat d’intendance ne bénéficie que d’un mi-temps.
Dans le cadre de la crise sanitaire chaque salle de classe et la demi-pension ont été équipées de distributeurs de gel hydro alcoolique. L’ensemble de l’équipe de direction élargie s’est impliquée dans la mise en œuvre du dispositif en donnant aux élèves le pain et les couverts en bout de chaine de self. Le collège a également multiplié le nombre de brocs mis à disposition.
Madame FILIPPOZZI évoque aussi les grandes difficultés rencontrées dans l’utilisation des diverses applications informatiques (bourses nationales…). Mme Filipozzi indique que cette rentrée sera sa dernière puisqu’elle prendra sa retraite à l’issue de cette année scolaire après plusieurs années en qualité d’adjoint gestionnaire tout en soulignant l’évolution du métier qu’elle a pu observer durant sa carrière.
Lycée Jacques BREL (CHOISY-LE-ROI) Pascal VION, adjoint gestionnaire : en application du protocole sanitaire, l’établissement a mis l’accent sur l’aération des locaux. Les enseignants participent activement à l’application de cette mesure. Du gel hydro-alcoolique a été mis à disposition dans chaque salle.
Le lycée n‘a pas rencontré de difficultés particulières en restauration (un agent assure la gestion du salad’bar pendant les repas).
Cette période de pandémie a été l’occasion de mutualiser les actions avec d’autres établissements à proximité notamment pour la récupération des masques que la Région a mis à disposition des agents et personnels. La mutualisation des moyens semble une piste à envisager pour améliorer la qualité de service (partage de matériels, de compétences…).
Monsieur VION évoque l’absence de technicien référent de la région sur son secteur, rendant un conflit de copropriété difficile à gérer. Il constate aussi une baisse significative des versements de la taxe d’apprentissage à la suite de la réforme de la collecte.
Lycée Edouard BRANLY (CRETEIL) Jean-Pierre CHEINEY, gestionnaire : le lycée étant un lycée fortement orienté vers les filières industrielles, l’une des principales préoccupations des enseignants relevait de la désinfection des outils partagés en ateliers (machines à commandes numériques, accessoires partagés…). Chaque enseignant a été doté d’un spray désinfectant et de rouleaux de papier absorbant.
La biométrie ne fonctionnant pas sur la borne de passage des élèves à la restauration, le service intendance, doté d’une nouvelle secrétaire, a du mettre en circulation des cartes magnétiques pour tous les élèves à l’exception de ceux de secondes (déjà dotés de cartes en début d’année scolaire).
Le lycée a du faire face à l’absence de nomination d’une assistante sociale. 17 dossiers de demandes d’aides en provenance des fonds sociaux ont été gérés par la vie scolaire et le service intendance. Monsieur CHEINEY évoque la grande difficulté dans laquelle se sont retrouvés ces deux services dans l’accompagnement d’élèves en grande précarité sociale. De plus la crise sanitaire a généré une multiplication des dossiers de demande d’aide alors que l’établissement ne disposait que de ses reliquats de crédit destinés au financement des fonds sociaux (absence d’attribution d’une nouvelle subvention).
A ce sujet, M CHEINEY demande aux collègues membres du réseau de bien vouloir faire remonter le nombre de dossiers traités dans chacun des établissements. M. OUISLY, adjoint gestionnaire au collège Jules FERRY (NOGENT), indique que nous pouvons contacter le ou la conseiller(e) technique de la DASEN en cas de nécessité.
II / Protocole sanitaire (difficultés et / ou solutions mises en œuvre) : synthèse
De façon générale, des postes de désinfection ont été mis à disposition dès l’entrée de l’établissement (distributeurs sur pied ou distributeurs automatiques…) et / ou dans chaque salles de classe. Les dépenses relatives à l’achat du matériel et des consommables liées à cette désinfection (gel hydro-alcoolique, masques, sur-blouses, distributeurs, rouleaux papier absorbants…) impactent fortement les budgets notamment des collèges.
Il apparait, cependant, que la difficulté majeure a été rencontrée dans l’organisation du service de restauration. De nombreuses solutions ont été apportées (réorganisation des emplois du temps, augmentation du nombre de services, multiplication des brocs d’eau, suivi du passage des élèves par classe ou autres…)
Toutefois, la configuration des locaux (réfectoires peu spacieux) ou le manque de personnel (préparation des couverts sur les plateaux ou distribution du pain en fin de ligne de self) limitent parfois les possibilités d’application des mesures barrières.
Les équipes très fortement mobilisées ont su trouver des solutions réalistes et applicables en fonction des particularités locales.
Il apparaît globalement que la contamination par le COVID19 ne s’est pas manifestement propagée au sein des EPLE en raison du peu de cas signalés, le taux des personnes contaminées par rapport aux personnes fréquentant l’EPLE restant faible.
III / Questions diverses
Circulaire de rentrée : M. KAMARA distribue le BO n°28 du 10 juillet 2020. A ce titre, un appel à projets est proposé aux membres du réseau pour qu’une réflexion porte sur différents thèmes abordés par la circulaire (par exemple la mise en place des Pial.
Les pôles inclusifs d’accompagnement localisés (Pial) sont une nouvelle forme d’organisation qui favorise la coordination des ressources au plus près des élèves en situation de handicap et une meilleure prise en compte de leurs besoins.
Remise d’ordre dans le cadre de pratiques religieuses : de nombreux adjoints gestionnaires posent la question relative à la façon de libeller les demandes de remise d’ordre pour les élèves ne souhaitant pas déjeuner à la demi-pension dans le cadre de pratiques religieuses. A ce titre, les membres du réseau évoquent l’intervention de la cellule sur la laïcité du rectorat lors de l’accompagnement du collège du PARC à Sucy-en-Brie confronté précédemment à cette situation.
La demande adressée aux familles vise à prévoir la fabrication des repas pendant l’absence de ces élèves afin de limiter les pertes et préserver le crédit nourriture.
CédiSCO : la gestion des conseils de discipline Étienne ANDRÉ présente l’application CédiSCO. M. CHEINEY, gestionnaire du lycée Edouard BRANLY (CRETEIL) précise qu’il ne s’agit pas d’une application destinée à imprimer les jaquettes de CD pour les nostalgiques de la petite galette musicale argentée.
Cette application permet notamment de préparer les documents nécessaires à la tenue des conseils de discipline : convocation, liste d’émargement, liste des points à aborder (sur la base d’importations de la base SIECLE / limitation des risques d’erreurs / respect des procédures…)
Déclenchements intempestifs de l’alarme incendie : Mme RAVARD, adjointe gestionnaire au collège Victor HUGO (CRETEIL), souhaite connaitre le moyen de lutter contre les déclenchements intempestifs de l’alarme incendie. Confronté à ce problème, comme de nombreux collègues, Mme MANENT, adjointe gestionnaire au collège LA GUINETTE (VILLECRESNES), a fait installer des surboîtiers par-dessus les déclencheurs manuels, qui sonnent quand les élèves les soulèvent. Cette solution un peu onéreuse s’avère toutefois efficace. D’autres solutions existent comme les poudres qui se révèlent avec l’humidité de la peau.
La réunion s’est terminée à 12h30.
Prochaine réunion : elle se tiendra à 9h00 en janvier 2021 (date à déterminer), au collège Louis PASTEUR à CRETEIL.
Nous tenons à remercier Étienne ANDRÉ pour ses prises de notes utiles à la rédaction de ce compte rendu. Les secrétaires de séance : M. KAMARA et M. CHEINEY