Pas de risque de me lire râler ainsi sur les réseaux sociaux ou de micro-messagerie, mais tout de même, c’est pas évident : avec le temps, le réseau des connaissances s’étend, et avec lui l’angoisse de ne pas avoir reconnu dans la foule quelqu’un qui le prendrait mal.
Mais le plus difficile, devant tous ces gens qui se disent ravis de me croiser, expriment leur reconnaissance voire leur admiration, c’est de continuer à surtout ne pas se prendre au sérieux. Merci pour vos encouragements chaleureux, ils sont précieux ; n’oubliez jamais que si cette petite zone de liberté a une valeur pour vous, la meilleure manière de le faire savoir est de proposer des articles.
Vous me croyez pas quand je vous dis que j’ai plein d’admirateurs ? Et toc :