Le secrétariat d’État au numérique propose une consultation en ligne des citoyens, en vue de "Co-construire la position française et la feuille de route numérique de la prochaine mandature européenne".
La précédente opération de co-établissement de la loi, du temps de Mme Axelle Lemaire, n’avait pas permis de faire évoluer une seule virgule dans les textes finalement adoptés. On n’est pas obligés de croire que le machin de cette année fera mieux qu’en 2016, mais on n’est pas obligés de se taire et de se laisser faire non plus.
Aussi, je suggère à tous les collègues conscients des enjeux de s’y inscrire, et de contribuer à la démarche. A tout le moins, il me paraît nécessaire de voter pour ou contre diverses propositions formulées par les citoyens, associations et entreprises s’exprimant dans le cadre de la consultation.
Parmi celles-là , qui me tiennent personnellement à coeur, celle demandant que dans le secteur de l’Éducation, "tout logiciel utilisé ou développé doit être un logiciel libre" ; Promouvoir le logiciel libre ; Faire (enfin) respecter le code des marchés publics (marques et RGIv2 / ODF et logiciels libres).